La jeune et grande brute

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine LGBT Travesti Gay Lesbienne Trans Sissy TV trans travesti sissy
il y a 4 ans

Synopsis de cette histoire érotique : Quand la fille de 19 ans de votre copine est un géante musclée qui aime féminiser les hommes, tout peut arriver, surtout quand vous êtes un gringalet de 55kg comme moi….

J’ai rencontré Laura l’année de mes 35 ans. Divorcé depuis peu, j’ai craqué sur cette magnifique petite blonde lors d’un dîner chez des amis. C’est un petit bijou de 1m60 et 45kg, divorcée elle aussi, avec une fille Sylvia de 19 ans, dont il est principalement sujet dans ce récit...

Laura m’a présenté à sa fille quelques mois après notre rencontre. C’était un soir d’avril pendant les vacances de Pâques alors que Sylvia était encore étudiante pour devenir formatrice en club de rugby. J’arrivai comme prévu vers 19H, une bouteille de vin et un bouquet de fleurs à la main. Je sonnais à la porte et entendis Laura crier à sa fille:

“Sylvia, va ouvrir, je suis sous la douche !”

J’entendis alors une démarche à la fois lourde et dynamiques se diriger vers la porte qui s’ouvrit. Je n’étais pas du tout préparé au spectacle qui s’offrait à moi ! Sylvia était immense. Malgré mes 1m75, mes yeux se trouvaient à hauteur d’une opulente poitrine moulée dans un pull blanc ouvert sur un décolleté vertigineux. Je levai la tête et vis un visage souriant que des yeux noirs et pétillants semblaient faire rayonner. De longs cheveux bruns descendaient sur les épaules les plus larges que j’ai jamais vues. La jeune amazone portait un legging noir qui dévoilait une musculature impressionnante. Ses quadriceps devaient sûrement être plus larges que mon corps tout entier. Je restais bouche bée face à ce corps titanesque. Je bredouillai alors:

“...Vous êtes Sylvia ?”

La jeune fille sourit, probablement habituée de la réaction qu’elle provoquait chez les hommes.

“Oui et je vois que je ne suis pas la petite fille que vous vous attendiez à trouver. Entrez, je vous en prie”

Elle se mit de côté dans le couloir pour me laisser passer, mais elle était si imposante et le couloir si étroit que même en me collant au mur, mon visage effleura son énorme poitrine dont la fermeté était impressionnante. Je tendais alors la bouteille de vin à la jeune amazone. Elle s’en saisit et je n’en crus pas mes yeux quand je me rendis compte que sa main était si large qu’elle enserrait totalement la bouteille, alors que j’avais du mal à la tenir ! Elle tenta de me mettre à l’aise.

“Je fais 2m et 150kg, mais ne vous inquiétez pas, je n’ai jamais mangé personne,même les petits minets trop mignons comme vous”

Je n’en revenais pas. Elle faisait presque trois fois mon poids et me considérait comme un “petit minet” ! Perchée sur ses talons, elle devait faire 2m15. Je ne savais quelle attitude adopter et finis par baisser les yeux pour me retrouver face à ses énormes seins qui ne cherchaient qu’à s’échapper de son pull. Riant de plus belle, elle s’esclaffa:

“Mes gros seins sont aussi un sujet de fascination !”

J’étais si gêné ! Je me mis à regarder mes pieds qui paraissaient minuscules à côté de la pointure 49 de l’amazone.

Laura sortit de la salle de bain, enveloppée dans une serviette. Elle paraissait si petite à côté de sa fille ! Le sommet de son crâne arrivait tout juste en dessous des mamelles titanesques de la géante. Elle s’approcha de moi pour m’embrasser et vit que j’étais tout rouge.

“C’est de me savoir toute nue sous ma serviette qui te fait cet effet là ?”

La jeune amazone me toisa d’un regard complice et mon regard se porta alors sur un miroir qui renvoyait l’image d’un homme frêle, que le corps titanesque d’une jeune colosse faisait paraître petit et fragile. Mon gabarit était loin d’être impressionnant. Avec mes 1m75 pour 55kg, j’avais du mal à trouver des habits qui m’aillent. Les pantalons étaient toujours trop larges et je devais prendre mes sous-vêtements au rayon ado.

“Installez vous à table. Je m’habille et je m’occupe de vous”

Alors que Laura se dirigeait dans sa chambre, je suivis Sylvia jusque dans le salon où la table était dressée. La vue de dos était tout aussi impressionnante. Ses larges épaules me bouchaient totalement la vue et ses muscles fessiers volumineux roulaient sous le tissus de son leggings dont le pauvre tissus était au bord de la rupture. Ses mollets qui étaient deux fois plus gros que mes cuisses se gonflaient à chacun de ses pas.

Arrivée près de la table, Sylvia s’assit sur l’immense chaise qui lui était réservée en bout de table. Elle grinça sous ses 150kg. Je m’assis face à sa mère, et à coté d’elle. Je restais silencieux, ne sachant quoi dire pendant que l’immense beauté me dévorait du regard.

Laura nous rejoint. Son petit corps longiligne gainé dans une robe fourreau qui la rendait plus belle que jamais. Mais comment avait elle pu e n f a n t er une telle géante ? Le repas fut délicieux et Sylvia engouffra une quantité impressionnante de nourriture. Je pense même qu’elle a mangé plus que sa mère et moi réunis ! Nous parlâmes peu. Laura sentit que j’étais mal à l’aise. Quand l’amazone fut repue, elle se leva, nous salua, et alla dans sa chambre pour ne plus en revenir. Laura me dit alors:

“On dirait que ça ne va pas ?”

“Si, ça va. Je suis juste déstabilisé par ta fille. Je m’attendais à trouver un modèle réduit de toi, et je tombe sur une géante qui me traite de “petit minet”. Je sais que je suis plutôt mince et ça ne me cause pas de complexe d’habitude, mais je ne m’étais encore jamais senti aussi petit et faible à côté d’une fille de 19 ans. Je suis désolé. Je n’ai pas pu contrôler mon humeur”

“Ce n’est pas grave. Je comprends. C’est une fille intelligente et elle aime jouer de l’effet que produisent sa stature et ses énormes seins sur les hommes, surtout sur ceux de ton âge, d’autant plus que tu en parais beaucoup moins mon chéri”

Laura vint alors s’asseoir sur mes genoux pour m’embrasser. Alors que ça provoque d’habitude quasi instantanément une érection chez moi, mon sexe resta prostré. Glissant une main sur mon entrejambe, Laura s’en rendit compte et en fût surprise.

“Elle t’a vraiment émasculé mon amour ? Je ne pensais pas que c’était à ce point ?”

Touché dans ma virilité, j’éludais sa question rapidement:

“Non, ça va, mais j’ai eu une journée épuisante. J’ai besoin de me reposer”

“Va te coucher. Je débarrasse la table et je te rejoins”

Je me rendis dans la chambre, me déshabillai pour ne garder que mon slip et me mis face à la glace de l’armoire. Je regardais mon corps totalement imberbe. C’est vrai que j’étais plutôt mignon, mais tellement mince ! Je n’avais que la peau sur les os et ma musculature était quasi inexistante. Mon sexe était si petit également que c’est à peine si on le distinguait sous mon slip. Je passai sous les draps et me mis à repenser à la géante. Mon esprit se focalisa alors sur la poitrine ferme et démesurée de l’amazone. Je commençais à l’imaginer nue, avec ses seins qui devaient être bien plus gros que ma tête. Je me mis à fantasmer sur ses larges cuisses musclées à coté desquelles les miennes ressemblaient à des cure-dents. Mon petit sexe se mit à durcir comme jamais auparavant. Laura entra alors dans la chambre. Elle se déshabilla entièrement, entra dans le lit et passant sa main sur mon entrejambe, elle constata ma virilité retrouvé.

“Je suis rassurée. Je te fais encore de l’effet”

Comment aurais je pu lui dire que c’était sa géante de fille qui me faisait cet effet là ! Se glissant sous les draps, elle se mit à sucer et à jouer avec mon petit pénis. Même avec un tel traitement, l’image du corps sculptural de Sylvia ne quittait pas mon esprit. L’idée de me savoir si petit et faible à coté d’elle m’excitait tellement que je ne fus pas long à venir. Je jouis dans la bouche de Laura qui n’en perdit pas une goutte. Elle vint alors se blottir contre moi et nous nous endormîmes.

Mon premier sommeil fut agité. Mon cerveau était secoué par les émotions ambivalentes qu’ avaient déclenchées le corps titanesque de Sylvia et la manière dont elle m’avait toisé. Je me réveillai en sursaut et assoiffé. Je me levai doucement pour ne pas réveiller la belle et me dirigeai juste vêtu d’un slip vers la cuisine où je pris un verre d’eau. Je me mis à le siroter face à la baie vitrée depuis laquelle on avait un vue magnifique sur la ville illuminée. Une voix me fit alors sursauter:

“Je savais que tu devais avoir un petit cul magnifique, mais je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse être aussi minuscule ! On dirait deux petites pommes que je vais prendre beaucoup de plaisir à croquer !”

Je me retournai vivement. Sylvia était là. Elle me paraissait plus grande que jamais avec ses bras croisés qui faisaient ressortir sa poitrine et ses avant-bras massifs. Elle portait un short qui moulait sa silhouette ronde mais musclée, et un tee-shirt sans manche totalement déformé par ses seins colossaux. Ses énormes tétons semblaient vouloir déchirer le tissus. Elle souriait malicieusement.

“Sylvia ? Je ne t’ai pas entendue arriver”

Quasiment nu devant la jeune géante, exposant mon corps maigrichon à son regard gourmand, je frissonnais de gêne. Si mes testicules avaient pu le faire, elles seraient remontées dans mon ventre d’humiliation. Je tentai de masquer ma nudité avec mes bras squelettiques même si j’avais conscience que ça ne me rendait que plus pitoyable.

“Pardon pour ma tenue, je vais aller me recoucher”

Alors que je tentais de retourner dans la chambre, la géante n’eut qu’un pas à faire pour me bloquer. Elle se trouvait dos à moi. Une de ses mains vint se plaquer sur ma bouche. Elle était si large que ses doigts se rejoignaient presque à l’arrière de mon crâne. J’eus peur que ma tête n’explose sous la pression ! Elle avait une telle poigne. Son autre avant-bras se plaqua contre mon ventre pour me serrer contre elle. Je me sentis alors soulever comme une plume ! Je me mis à gigoter mes jambes d’araignée pour tenter de m’extirper de la prise de l’amazone mais la géante augmenta son étreinte jusqu’à ce que je sente mes os à la limite de la cassure. Je me figeai alors.

“Tu as vraiment envie que ma mère te vois dans cette position ?”

Non, je ne le voulais pas. Je relâchai le peu de muscles que j’avais. Sylvia ressentit mon abdication et libéra ma bouche de son énorme battoire. Je me vis alors dans le miroir. Mes fines jambes pendaient le long des cuisses musclées de l’amazone. Mes pieds se balançaient dans le vide à plus de 25 cm du sol. Elle me pressait contre son sein gauche qui était plus large que mon buste. Je sentais son téton durci par l’excitation entre mes frêles omoplates. Son avant bras était plus gros que mes cuisses et je ne parle même pas de son biceps qui ressemblait à un tronc de séquoia.

“Je n’en reviens pas à quel point tu es léger ! C’est à peine si je sens ton poids”

La pression qu’elle exerçait sur ma taille de guêpe m’était de plus en plus douloureuse. Je pris appui sur son poignet pour soulager un peu son étreinte. Mes mains ressemblaient à des mains de poupées posées sur son énorme membre. La large main de l’ogresse qui couvrait auparavant ma bouche vint caresser ma taille de danseuse étoile. Plaqué sur mon ventre, elle couvrait largement tout mon abdomen.

“Tu es si mince ! Es tu un homme seulement ? Tu as été taillé dans une allumette ?”

Sa main glissa sur mes jambes de gazelles pour les caresser, puis remonta pour pétrir mes petites fesses qui semblaient tant la fasciner. Un frisson parcourut mon corps quand ses gros doigts s'insinuèrent sous mon slip et vinrent caresser mon anus”. Sylvia sourit de ma réaction.

“ça te fait frétiller quand on caresse ta petite chatte ma pucelle ! Je savais que tu aimais ça”

J’étais surpris moi même par ma réaction. Sylvia continua à me masser la rondelle du bout de son gros index et rapidement, je ressentis une vague de plaisir monter de mon bas ventre et m’envahir. Je venais de jouir sans même que mon sexe soit en érection et parce qu’une géante me titillait l’anus !

“Tu as joui de la chatte ma petite pucelle. Je ne m’étais pas trompée, tu vas faire une belle petite traînée”

Comme si me retrouver seulement vêtu d’un slip soulevé comme une plume par un seul bras de la géante ne suffisait pas à saper ma virilité, Sylvia prenait de plus en plus de plaisir à considérer mon anus comme un sexe féminin. J’étais submergé par un flot d’émotions contradictoires, mais à ma grande surprise, être considéré comme un objet féminin par cette créature à peine sortie de l’a d o l e s c e n c e m’excitait de plus en plus, et la tache humide qui s’était formé sur mon slip en était une preuve irrévocable

Son pouce et son index glissèrent sous mon slip pour saisir mon petit pénis et récupérer le sperme qui s’en était écoulé.

“Tu aimes vraiment que l’on joue avec ta chatte ? Tu as déjà bien mouillé.”

Elle porta ses doigts souillés par mon sperme à ma bouche et je compris que je devais les nettoyer de ma langue. Je léchais avec grand plaisir ses doigts massifs rendus râpeux par le rugby. J’avalais la dernière goutte, et regardant mon visage dans la glace, je vis qu’un peu de ma semence perlait au coin de ma bouche, comme ses actrices porno qui viennent de soulager leur partenaire...

“Tu aimes ça ? Tu es une belle petit salope ! Je m’en suis douté dès que je t’ai vu. On ne peut pas être aussi fin et peu musclé sans aimer sucer des bites !”

L’idée d’avoir des relations homosexuels ne m’avaient jamais effleuré. C’était même la première fois que je goûtais mon sperme. La main de Sylvia revint se poser sur mon pubis où mon sexe flaccide était plus petit que jamais. Elle pressa la peau de part et d’autre de la base de mon sexe pour former comme une lèvre et laisser seulement un bout de mon pénis visible. On aurait dit un sexe féminin ! C’était à si tromper ! S’il restait encore un peu de fierté masculine en moi, Sylvia venait de totalement l'annihiler !

“C’est ça, la nature n’avait pas fini son travail. Tu as vraiment une belle petite chatte en fait ! Je vais m’en occuper. Je vais d’abord me débarrasser de ça”

D’un coup sec, elle tira sur mon slip qui n’offrit aucune résistance à la puissance de la jeune amazone. Je sentis le tissus glisser entre mes fesses et je frémis à nouveau de plaisir. Sylvia porta le bout de tissus à hauteur de son nez et tel un molosse qui renifle une chienne en chaleur, elle se mit à humer mes effluves. De son visage transpirait un plaisir quasi B e s t i a l .

“Ta mouille sent la pucelle qui veut se faire prendre. Je vais m’occuper de ça”

Les phrases de Sylvia lacéraient mon esprit et l’imprégnaient à la fois de plaisir et de crainte. Mais de quoi devait elle s’occuper ?

D’une puissante impulsion de son avant bras, elle me replaça contre son sein et commença à me porter jusque dans sa chambre. Je n’en revenais pas d’à quel point mon poids ne la gênait pas. Je n’étais rien de plus qu’une légère poupée de chiffon avec laquelle elle voulait jouer. Je frémissais à la fois d’envie et de terreur. Mais que me réservait elle ?

Malgré son poids et le mien, elle se déplaçait avec un légèreté qui trahissait la puissance musculaire colossale de ses jambes. Mon petit corps oscillait à chacun de ses pas et nous arrivâmes bientôt à la porte de sa chambre. Elle l’ouvrit, me porta à l’intérieur et la referma. Sa main libre vint se positionner sous une de mes aisselles et soutint tout mon poids pendant un court instant, le temps que sa main qui m’écrasait l’abdomen vienne sous mon autre aisselle. Elle me tenait maintenant à bout de bras et me souleva en l’air comme un fétu de paille, de manière à ce que mes petites fesses soient à hauteur son visage. Elle les approcha de sa bouche et je sentis une langue puissante s’insinuer dans ma raie pour pénétrer sauvagement ma rondelle. Tout mon corps se mit à vibrer de plaisir sous cette sollicitation aussi jouissive qu’ inattendue. Elle retira sa langue de mon anus pour me sodomiser le cerveau un peu plus profondément encore.

  • Ca te plait ma belle quand on te lèche la chatte ! Mais calme toi. Ton prochaine orgasme n’arrivera pas comme ça !

Toujours en soutenant le poids de mon corps chétif à bout de bras, elle se déplaça vers un commode sur laquelle elle m’assit. Le contact froid du marbre me fit frissonner et me sortit de la torpeur dans laquelle j’étais. Sylvia me faisait face, les mains sur les hanches. Même assis en hauteur, mes yeux étaient encore en dessous des siens. C’est comme si elle n’en finissait pas de grandir dans mon esprit. Les muscles de ses épaules et de ses bras avaient gonflé sous l’effort et voyant que mes yeux se portaient sur eux, la belle fléchit ses biceps qui devinrent aussi gros que des ballons de basquet ! Ma bouche s’ouvrit de surprise face à une telle démonstration.

  • Mes bras te plaisent ma mignonne ? Ne t’inquiète pas tu vas vite découvrir avec quelle facilité ils peuvent jouer avec ton petit corps de fillette.

“fillette”, je n’était rien de plus pour elle qu’un petit corps léger avec une chatte. Sylvia s’approcha de moi et posa ses grosses mains sur mes épaules pour les enserrer légèrement. Ma délicate ossature paraissait si fine dans ses immenses battoires ! Elle les fit ensuite glisser sur mon buste, lentement. Je devinais à la dilatation de ses pupilles qu’elle appréciait le contact de ma peau douce et glabre, et je frémissais sous le contact ferme et rugueux de ses énormes doigts, surtout quand ils s’attardèrent sur mes tétons dressés.

  • Ta peau est si douce et tu n’as pas un poil ! ça ne va pas être très compliqué de faire de toi une belle petite salope !

Pendant que sa main gauche continuait de glisser sur mon ventre pour atteindre mon pubis, Sylvia plongea sa main dans le tiroir supérieur à demi ouvert de la commode et en sortit un tube de colle. Je me souvins alors brutalement de ce qu’elle avait fait juste avant d’arracher mon slip ! En effet, sa main gauche plissa la peau de mon pubis pour y emprisonner la base de mon petit sexe et former ainsi un semblant de lèvre et de clitoris. Elle déposa ensuite une ligne de colle sur la jointure et plissa un peu plus les bords pour les joindre. La colle prit instantanément et quand Sylvia enleva sa main, elle fut si satisfaite que ses pommettes en rougir. Elle se mit à titiller le bout de mon pénis de son gros index.

  • Voilà un beau petit pubis de pucelle ! Et regardez moi ce mignon petit clitoris !

Elle était de plus en plus excitée. Des perles de sueur coulaient sur ses joues et son débardeur collait à sa peau, révélant de plus en plus sa poitrine titanesque. Elle s’approcha de la commode, ouvrit le tiroir du bas et en sortie de la lingerie en dentelle blanche. Je n’avais aucun doute sur ce qui allait advenir.

  • C’est du 36, mais je me demande même si ça ne va pas être trop grand ? Tu es si mince !

Elle tenait la culotte dans sa main qui était si large qu’elle arrivait à tendre le tissus juste entre ses doigts ! Elle finit par saisir chacun des côtés du petit slip entre le pouce et l’index des ses mains. Elle manipulait la fine dentelle avec une extrême délicatesse, consciente que si elle ne maîtrisait pas sa f o r c e colossale, elle risquait de déchirer l’étoffe comme un bout de papier. Elle entreprit de me l’enfiler. Je tendis machinalement mes jambes de manière à lui faciliter la tâche, sachant très bien que je n’avais de toutes façons par les moyens de résister. Elle fit glisser la culotte sur mes jambes fines et fuselées, que la nature avait choisi de laisser lisses et imberbes, comme en attente de ce jour.

Sylvia avait du mal à dissimuler le plaisir qu’elle prenait à m’habiller ainsi. Sa lourde poitrine se soulevait et se baissait au rythme de sa respiration rendue haletante par un désir quasi B e s t i a l . Quand la culotte arriva à hauteur de mon entrejambe, j’écartai les jambes et me couchai légèrement sur le dos pour faciliter la tâche à la géante et éviter qu’elle ne déchire le tissus tant l’excitation la rendait fébrile et l’empêchait de maîtriser ses muscles si puissants. Je me retrouvai donc les jambes écartées, couché sur dos face à la jeune amazone, telle une ribaude offrant ses charmes à son colosse d‘amant. Je n’aurai jamais penser que cette inversion de rôle m’excite autant, j’en voulais plus…Quand je sentis le slip bien inséré entre mes fesses, je posai mes petites mains sur les poignets massifs de la belle pour lui indiquer qu’elle ne devait pas aller plus loin. Mon pubis moulé ainsi dans la petite culotte donnait parfaitement illusion. Elle recula d’un pas pour admirer son travail.

  • Ca te va à la perfection ! Il ne te faut vraiment pas grand choses pour ressembler à une belle petite pute !

Je frissonnai à l’écoute de ces mots qui résonnaient en moi et semblait me faire trouver la place qui m’était réellement destinée. La belle se saisit d’une brassière de la même dentelle que celle du slip et la tendit devant elle pour la regarder. C’est à peine si un des bonnets auraient pu contenir une des ses larges aréoles que je distinguais de plus en plus sous son débardeur humide de sueur, et le fragile bout de tissus auraient sûrement céder sous le poids d’un seul de ses majestueux melons. Elle s’approcha de moi et entoura de ses bras mon buste frêle pour attacher la brassière dans mon dos. Je sentais ses mains puissantes et ses gros doigts chercher à accrocher les petites agrafes, pendant qu’une de ses lourdes mamelles percutait mon buste telle une boule de démolition.

Elle finit par y arriver et maintenant qu’elle n’était plus concentrée sur l’agrafe, elle se rendit compte que nos deux bouches se trouvaient si prêt que nous respirions nos haleines respectives. Sa main droite eut vite fait de saisir l’arrière de mon crâne pour plaquer mes lèvres fines et douces sur sa large bouche pulpeuse. Son énorme langue entra avec f o r c e dans ma cavité buccale et me v i o l a littéralement la bouche. Son baiser à sens unique n’en finissait pas et je commençais à manquer d’air quand elle relâcha son étreinte pour à nouveau se reculer et tel un peintre, admirer le tableau qu’elle créait. C’était mon tour d’ haleter pour reprendre ma respiration, et le mouvement de ma mince poitrine maintenant emprisonnée dans le soutien gorge pour a d o l e s c e n t e semblait énormément plaire à Sylvia qui se léchait les lèvres de satisfaction.

  • Si je te posai habillé comme ça sur le trottoir, tu me rapporterais un paquet de pognon ! Même dans un boîte de lesbiennes, tu aurais un succès phénoménal.

Grisé par ces mots qui se voulaient à la fois insultes et compliments, je me penchais légèrement pour mettre en avant un décolleté pas très fourni mais qui semblait terriblement excité l’amazone. La belle se saisit alors de bas en dentelle qu’elle enfila sur mes jambes de gazelle. A chaque fois que le haut du bas arrivait au milieux de mes cuisses, elle les enserrait de ses larges mains comme pour mieux percevoir leur minceur et leur douceur. Elle sortit deux perruques, l’une blonde et l’autre brune et hésita quelques secondes avant de jeter la brune par terre pour choisir de me transformer en “poupée Barbie putain”. De longs et lisses cheveux blonds platines ruisselaient maintenant sur mes frêles épaules. Au fur et à mesure de ma féminisation, Sylvia agissait avec de plus en plus de douceur. Elle repoussa du dos de ses mains les cheveux dans mon dos et saisissant mon menton de poupée entre ses doigts massifs, elle m’obligea à lever la tête pour qu’elle puisse admirer son oeuvre.

Tu es parfaite ! Tes traits sont si fins...

Une limite venait d’être franchie. Elle me considérait définitivement comme une femme, délicate et fragile qui plus est ! Elle sortit du tiroir un nécessaire à maquillage, l’ouvrit, et commença à façonner mon visage au gré de ses pulsions peu communes. Je voyais les pinceaux et brosses s’agiter devant mes yeux. Ils paraissaient minuscules dans ses paluches titanesques, mais elle les manipulait cependant avec beaucoup de dextérité. Elle me posa ensuite de faux cils puis redessina les contours de mes yeux. Elle finit par le rouge à lèvre le plus rouge que j’ai jamais vu. Sylvia recula pour admirer son travail et ses yeux se mirent à briller.

  • Tu es superbe ! Je n’ai jamais vu de femme aussi belle ! Avec ta silhouette de danseuse et ton ossature de fillette, personne ne pourra soupçonner que tu es une petite tapette.

Elle sortit ensuite du tiroir qui contenait manifestement tout le nécessaire pour ses jeux pervers, une paire de talons aiguille. Elle prit mon pied droit dans sa grosse main pour m’enfiler la chaussure. Je n’en revenais pas ! Ses mains étaient plus grosses que mes pieds et j’avais réellement l’impression qu’elle habillait une poupée.

  • Tes petits petons sont vraiment trop craquants ! Quelle finesse !

Elle ne s‘était pas trompée de pointure. Ils m’allaient parfaitement. Satisfaite de ma transformation, Sylvia me saisit à nouveau sous les aisselles pour me soulever et m’admirer sous toutes les coutures. Elle me déposa ensuite face à un miroir où mon image me brûla les yeux. A la fois, je me reconnaissais et je ne me reconnaissais pas. Je voyais cette superbe blonde qui paraissait si fine et délicate à coté de la géante plantureuse. Son visage était si féminin, avec ses longs cils et ses fines lèvres rouges écarlates. Les bas en dentelle et les talons aiguilles magnifiaient ses jambes de gazelle et la brassière faisait ressortir ses frêles épaules et sa taille de guêpe. La petit culotte moulait son pubis, laissant apparaître la fente caractéristique des attributs féminins.

Je me tournais vers Sylvia et malgré mes talons, je dus lever les yeux pour regarder son visage. J’aurais voulu dire quelque chose mais rien ne sortait de ma bouche. En réponse, elle posa un de ses énormes bras derrière mon dos pendant que l’autre venait faucher mes jambes, pour me porter comme une “jeune mariée”. Elle me souleva dans un mouvement lent et délicat que seule une f o r c e colossale autorisait, pour me caler contre sa lourde poitrine et me bercer. Son visage n’esquissa aucun signe d’effort. Mes 55 kg ne faisaient définitivement pas le poids face à ses muscles d’athlète. Mes longs cheveux platines s’étalaient sur son majestueux sein droit, et ma tête reposait contre son épaule musclée. Je me laissai emporter dans un douce léthargie quand la géante m’interpella.

  • A toi un peu de bosser maintenant !

Elle me posa délicatement sur le sol pour que je ne perde pas l’équilibre sur mes talons. Ses mains vinrent saisir le tissu de son débardeur à hauteur de sa poitrine et dans un mouvement rapide et puissant, elle le déchira et jeta le pauvre bout de tissus au sol. Sa poitrine titanesque libérée oscillait face à moi. Jamais je n’avais vu de seins aussi colossaux et fermes, comme si la gravité n’avait aucun effet sur eux. Toute la beauté de son buste puissant m’était maintenant révélée. C’était une symphonie de muscles épais et de courbes gracieuses, dont se dégageaient un sentiment de f o r c e B e s t i a l e. Sylvia était magnifique.

Elle posa ensuite ses mains sur les cotés de son short qui subit le même sort que le débardeur, sans offrir plus de résistance. Mes yeux se portèrent d’abord sur son pubis à la toison brune et fournie, puis sur ses larges hanches entourées d’une...s a n g le ? Avant même que je me pose la question, la réponse surgit d’entre les jambes de l’amazone, sous la forme d’un titanesque pénis en plastique noir, qu’ elle gardait dans son short, comprimé contre les lèvres de son sexe. Il était énorme et luisant de l’humidité de la chatte contre laquelle il se cachait. Sylvia rayonnait de puissance, les poings sur les hanches, le sexe en latex oscillant au rythme de ses respirations. Je frémis de peur,sachant très bien où allait finir le phallus géant, mais je compris que ce n’était pas pour tout de suite quand l’ogresse alla s’asseoir sur le lit, les jambes écartées face à moi, masturbant son pénis artificiel que même sa large main avait du mal à entourer totalement. D’un appui sur la télécommande, elle lança une musique douce et langoureuse, empreinte de tonalité sexuelle et torride.

  • Danse pour moi petite salope ! Fais bouger ton petit cul de pucelle ! Fais moi bander !

Je regardais médusé la géante musclée, à moitié nu dans ma panoplie de strip-teaseuse.

Je commençai à me dandiner, d’abord maladroitement, puis me laissant guider par la musique, les mouvements se firent naturellement plus fluides et sensuels. Balançant mes petites fesses de droite à gauche, je fis glisser mes mains le long de ma taille, puis de le long de mon buste, pour finir par les perdre dans mon abondante chevelure blonde. Je relevai lentement mes cheveux au dessus de ma tête comme pour faire un chignon, puis je les relachai sensuellement pour qu’ils tombent devant mes yeux, en cascade de longues mèches à travers lesquels j’adressai des regards désireux à mon immense maîtresse.

Comme ensorcelé par la présence écrasante et castratrice du corps sculptural de Sylvia, vidé de ma virilité par son aptitude irréelle à porter et soulever mon corps comme s’il ne pesait rien, féminisé par les vêtements en dentelle pour a d o l e s c e n t e chétive qui m’allaient à la perfection, j’avais totalement perdu le contrôle de ma volonté et me laissait aller au désir d’exciter mon amazone. Je crois que Sylvia fût elle même surprise de la sensualité du spectacle que j’offrais et me regardait avec un petit sourire en coin sadique. Je m’approchai de la jeune ogresse à pas lent, croisant mes jambes comme un mannequin qui défile. Arrivé devant la géante assise, je me retournai pour frotter mon petit cul contre son phallus dressé. Je frémis au contact de l’énorme organe de plastique. C’en était trop pour l’amazone qui ne pouvait résister plus longtemps à mes appels de chienne en chaleur.

— Bon s a n g , tu es vraiment trop bonne. Tu vas voir ce que tu vas prendre petit pute !

Sylvia, à qui je tournai toujours le dos, baissa brutalement ma petite culotte jusqu’à mi cuisse, plaça ses énormes mains autour de ma taille de guêpe, et me souleva comme si je n’étais qu’une poupée gonflable. Alors que mon corps chétif était maintenu en l’air uniquement par la f o r c e de ses bras et que mes jambes battaient dans le vide, Sylvia salivait devant mon petit fessier qu’elle était sur le point de déflorer.

— Tu as un petit cul si désirable ! Je n’en reviens toujours pas que cette culotte de midinette en 36 t’aille si bien !

Fléchissant légèrement ses bras, elle agitait mon corps pour que ma raie frotte contre son chibre et quand elle estima que j’étais suffisamment excité, elle appuya le bout de sa grosse bite contre ma petite rondelle. Devant la résistance de mon anus peu habitué à ce traitement, la jeune brute appuya de plus en plus fort jusqu’à ce que mon sphincter cède brutalement. Alors que seul le gland de son chibre artificiel était en moi, j’avais déjà l’impression d’être totalement rempli. Je gémissais à la fois de douleur et de plaisir, encourageant Sylvia à m’empaler plus profondément encore.

Augmentant encore la pression, elle me fit coulisser sur son pénis jusqu’à ce que mes petites fesses entrent en contact avec son pubis et que je sente sa toison si large qu’elle couvrait toute la surface de mon petit séant. J’écartais un peu mes jambes qui pendaient dans le vide, pour atténuer la douleur et faciliter le passage du monstrueux pénis. Je n’osais bouger de peur que mes organes n’explosent, laissant à ma maîtresse l’initiative de me manipuler comme elle le voulait. Sylvia m’avait à sa merci et avait bien l’intention de jouer avec mon petit corps.

La grande brute commença à me faire coulisser d’avant en arrière, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Le pubis de la géante percutait mes petites fesses à chacun de ses puissants coups de rein. Elle se mit à agiter mes 55kg par la seule f o r c e de ses énormes bras musclés avec une fréquence qui n’en finissait pas d’augmenter. Alors que j’étais à la limite de perdre connaissance sous le tremblement de terre que Sylvia m’imposait, je sentis une vague de chaleur m’envahir le bas ventre, et mon clitoris éjecta quelques gouttes de spermes qui s’écrasèrent sur le sol. Je poussai de petits couinements aigus dont je ne croyais pas mes cordes vocales capable, pendant que Sylvia grognait comme un taureau en rut sur la petite génisse que j’étais. Sylvia, satisfaite par mes râles de pucelle, cessa de m’agiter. Me soulevant sans effort, elle me dés-empala du long chibre de plastique, laissant mon anus de vierge hyper dilaté et béant face à son regard comblé.

— Te voilà dépucelée ma mignonne. Tu saignes un peu mais tu as bien encaissé.

Elle me fit pivoter pour coincer fermement mon petit corps sous son bras gauche et avoir accès à mon petit trou meurtri. Elle saisit un tube de gel dont elle m’enduit copieusement la rondelle du bout de son gros index et le soulagement fut si rapide que j’en gémis de plaisir.

— Tu es définitivement une jouisseuse du cul. A peine on effleure ta chatte que tu gémis comme une vierge en chaleur.

Toujours en me maintenant sous son bras, Sylvia alla s’assoir sur le lit. Elle me fit basculer pour me déposer sur sa large jambe droite. Mes cuisses d’araignée paraissaient ridicules contre ses quadriceps surpuissants. Après un tel traitement, mon corps était mou comme du chiffon et je m’effondrai sur l’énorme sein droit de Sylvia, tentant de reprendre mon souffle. Ma culotte baissée jusqu’au genoux me donnait l’air d’une traînée dans laquelle on s’était vidé les couilles. La géante caressait mes jambes dont la finesse et la douceur la fascinaient encore. Sa main finit sur mes fesses et elle était si large qu’elle pouvait entièrement les recouvrir. Elle pétrissait mon petit cul comme une brioche. Je me sentais si bien, habillé comme une pute, mon faible poids reposant totalement sur la cuisse musclée d’une jeune géante qui venait de me sodomiser comme une poupée gonflable.

— Tu t’es bien débrouillée. Je pense que mes copines du club de rugby vont beaucoup apprécier la vidéo.

Je regardai la belle d’un regard empli d’interrogation et de terreur. Tournant la tête, je vis les caméras au 4 coins de la chambre. Sylvia me montra alors une tablette sur laquelle on pouvait voir ce qu’elles filmaient en temps réel. Mon coeur sauta dans ma poitrine quand je vis la scène: Une petite blonde aux cheveux longs, mince et fine comme une danseuse étoile, avec un slip en dentelle baissé à hauteur des genoux laissant apparaître un sexe féminin totalement épilé, était assise sur la cuisse large et musclée d’une jeune géante à la carrure d’athlète, bardée d’un chibre à l’érection permanent qui oscillait sur ses mouvements.

Zoomant sur mon visage, je vis mes yeux autour desquels mes larmes avaient étalé le rimmel. Je paraissais si pitoyable et faible à coté du corps large et musclé de Sylvia. Elle lança la vidéo qui s’était déclenchée quand j’étais entré dans la cuisine. Je me vis mille fois soulevé, porté, manipulé, maquillé, sodomisé. La géante m’avait utilisé comme une poupée de chiffon, faible et légère, pour satisfaire ses instincts sadiques. Je me mis à s a n g loter. La porte de la chambre s’ouvrit. Laura entra, nue et rayonnante. Elle ne m’adressa même pas un regard tellement ses yeux étaient connectés à ceux de Sylvia.

— Tu t’es bien amusé ma grande ! C’est bien la première fois que je te vois le manipuler avec autant de facilité. Est il aussi léger que ça ?

— Oui ! C’est à peine si je sens son poids. Et tu as vu comme cette lingerie lui va bien ? Je crois que l’on a trouvé la victime parfaite !

Je restais médusé. Laura avait tout suivi par le truchement des caméras. Je fixai les deux complices, cherchant une explication que je n’osais demander. Laura s’approcha et vint se lover comme une chatte sur la cuisse gauche de Sylvia. L’amazone supportait maintenant nos deux poids, sans que ça ne la gêne le moins du monde. Laura palpait le sein gauche de son énorme amante avec sa petite main.

— Ils ont encore grossi ! C’est à peine si j’arrive à le soulever !

— J’ai dû encore prendre 2 tailles de bonnet. Il faut dire que mes pectoraux ont encore dû prendre du volume maintenant que je pousse 200kg au développé-couché.

Cette nouvelle sembla exciter Laura qui se mit à regarder Sylvia avec des yeux énamourés.

— Tu es si forte ma belle...

Elle se dressa contre le buste de la géante pour l’embrasser torridement. Elle frottait son corps minuscule et bien dessiné contre l’énorme poitrine de ma maîtresse, pendant que celle-ci caressait ses petites fesses. Détachant ses lèvres de celle qu’elle disait sa fille, Laura daigna me regarder.

— Tu l’as compris j’espère, Sylvia n’est pas ma fille mais mon amante et j’aime jouer les rabatteuses de petit minet comme toi pour qu’elle satisfasse ses instincts. Quand je t’ai vu nageant dans ce costume bien trop grand pour toi à ce repas, je me suis dit que tu serais parfait. J’en ai eu la confirmation la première fois que je t’ai vu nu. Ton corps imberbe est si mince et tes membres si fins. Je me doutais que tu étais léger comme une plume et que Sylvia allait te malmener avec facilité, ce qu’elle adore par dessus tout. Je ne parle même pas de ton micro pénis ! Je savais que Sylvia allait en faire un clitoris parfait.

Je me mis à pleurer à nouveau face à cet aveux lapidaire. Mon mascara s’étala un peu plus et me donna l’air encore plus pitoyable. Sylvia prit la parole.

— Il va falloir nous laisser. Maintenant que je me suis échauffée avec toi, je vais faire l’amour à ma petite princesse.

D’un puissante impulsion de sa jambe, elle m’ éjecta de son giron. Peu habitué à marcher avec des talons et gêné par la culotte qui entravait mes genoux, je tombai à quatre pattes, exposant mon petit anus encore dilaté et luisant de gel à mes deux maîtresses. Sylvia s’esclaffa.

Regarde moi cette petite traînée, à quatre pattes, la culotte baissée, le maquillage étalé. C’est un vrai garage à bite !

Elle saisit son portable pour me prendre en photo.

— Celle là elle est d’anthologie, je vais la mettre en fond d’écran.

Je s a n g lotais sur le sol quand Sylvia me lança un ordre.

— Prend le sac qui est sur cette chaise ! C’est la tenue que tu mettras demain pour venir pour me chercher dans les vestiaires du club à 17H. Mes copines t’attendent et elles doivent être très excitées par la vidéo. Ne sois pas en retard !

— Je me relevai tant bien que mal sur mes talons aiguilles et remis ma culotte en place. Sylvia ne perdait pas une goutte du spectacle pitoyable que j’offrais, faisant glisser le petit slip sur mes jambes filiformes. Je pris le sac dans lequel je jetais un coup d’œil rapide. Je vis qu’il contenait de la lingerie rose fluo, une minuscule mini-jupe en jean, des bas résilles, un chemisier blanc qui avait l’air ultra transparent, ainsi qu’un nécessaire à maquillage. A ma grande surprise, je sentais des papillons d’excitation dans mon ventre à l’idée de me vêtir ainsi, pour aller dans un vestiaire rempli de jeunes amazones du calibre de Sylvia.

— Une dernière chose : Va directement dans le vestiaire B, ne traîne pas dans les couloirs. les hommes s’entraînent en même temps que nous et s’ils te voient comme ça, tu vas passer à la casserole. Même si ça t’excite, c’est hors de question qu’ils s’occupent de toi avant nous !

L’idée de me retrouver dans cette tenue au milieux d’une équipe de colosses poilus déclencha une décharge d’adrénaline qui me fit trembler de plaisir.

Bgp

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement